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L’après DEXIA : une ambition pour nos communes wallonnes svp !

La situation de DEXIA est très inquiétante.

Depuis plusieurs jours, des mesures urgentes et très importantes sont prises.

Où va-t-on ? Pourquoi en est on arrivé là ?

Le parlement wallon a consacré à ce sujet un débat en séance plénière ce mercredi 12 octobre.

Dans ce débat, le député Marc BOLLAND est intervenu en développant le raisonnement suivant :

  • les mesures à prendre dans l’urgence doivent être prises : les décideurs n’ont guère le choix ;
  • dans le moyen terme, que devons-nous faire ? que voulons-nous faire ? que pouvons-nous faire ?

En rappelant d’une part la nécessité d’instruments financiers adaptés aux besoins des pouvoirs publics (investissement, trésorerie et gestion des risques), et en analysant brièvement les principales erreurs de stratégie du groupe DEXIA, Marc BOLLAND demande, compte tenu notamment du rôle très important des pouvoirs locaux dans les investissements en Wallonie, que la crise actuelle de DEXIA permette à la Wallonie de réorganiser, de dynamiser et de compléter les structures de financement dont elle a besoin, dans le cadre de ses nouvelles responsabilités institutionnelles, pour relever les défis majeurs qui se présentent à elles sur le plan économique.

On ne peut pas faire de la main gauche le contraire de ce que l’on fait avec la main droite.

Pour le détail de l’intervention : cf annexe – DEXIA etc.

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Un commentaire

  1. Monsieur le Bourgmestre,
    J’ai bien lu votre texte en annexe. Merci pour votre optimisme.
    J’ai relevé par hazard dans votre texte certaines idées : un nouveau Crédit Communal – une banque Belge, mais, revers de la médaille : face à une concurrence forte … perdre des parts de marché … diminuerait l’épargne collectée.
    Ce n’est pas dit, car, ce qu’il faudrait surtout, c’est rendre la confiance ( confiance : à insister et souligner ) aux épargnants, en revenant aux anciens métiers des banques. Des métiers simples – honnêtes – sains – efficaces – où on ne promet pas le Bon Dieu ( 13% ??? ) et que tout le monde comprend.
    Des dirigeant qui s’engagent à refuser catégoriquement d’entrer dans le système du profit en prenant tous les risques, tous les arrangements, tous les montages et autres sophistications compliquées.
    Croyez-vous que la concurrence pourrait rendre facilement la confiance aux gens? Que nous réserve encore cette concurrence ?
    Et puis, une banque comme vous la décrivez ne doit pas avoir de concurrence : elle n’est pas comme les autres, la concurrence n’existe tout simplement pas pour votre banque.
    CREDIT ( banque ) veut avant tout dire CONFIANCE.
    Bien à vous.

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